Archives de Catégorie: Guatemala

Antigua, à l’ombre des volcans.

Nous allons débuter la nouvelle année à Antigua, à l’ombre des volcans. Ville rêvée pour faire la fête ou pour se détendre, en amoureux ou en famille, Antigua offre un cadre bien différent de Livingston, que nous venons de quitter. Située en montagne, son architecture coloniale a tout pour charmer ceux qui rêvent d’ailleurs, comme nous. Avec sa gastronomie variée, ses bons restaurants, sa cuisine de rue, Antigua séduit. Tout est délicieux. Son ambiance aussi, presque magique. Nous y passerons une semaine. Lire la suite

El Remate, entre la jungle et le lac.

Vous cherchez une petite bourgade, tranquille, près des sites archéologiques du nord-est du Petén? El Remate répond à tous ces critères. Située le long de la route menant à Tikal, entre la jungle et le lac Petén Itzá, elle offre une pause nature inégalable. C’est la première fois que nous y résidons. Notre but est de nous rapprocher des sites mayas peu accessibles de cette région. C’est notre dernier arrêt avant de retourner au Belize et nous avons bien l’intention d’en profiter. Lire la suite

Flores, ville du Petén.

Flores assure un point de chute intéressant pour visiter Tikal et les autres sites archéologiques du Petén. Elle est divisée en deux sections, l’île de Flores et Santa Elena. La plupart des touristes choisissent de séjourner sur l’île. Les commerces, l’hébergement et les restaurants n’y manquent pas. Le soir, les tuk tuk n’ont plus accès aux rues. Seuls les taxis peuvent y circuler. Mis à part les bars situés près du pont qui sépare l’île de Santa Elena, les rues sont paisibles. L’île est très jolie.

Santa Elena, quant à elle, n’offre rien de particulier, elle n’est pas prévue pour recevoir les touristes. C’est là que nous avons choisi de séjourner. Lire la suite

Livingston, entre le fleuve et la mer.

Le bateau en provenance de Punta Gorda nous dépose au quai de Livingston. La mer est belle et la traversée a été facile. Nous sommes accueillis par une horde de vendeurs, assez bruyante d’ailleurs, presque cacophonique. Certains de ces jeunes hommes offrent une chambre d’hôtel, d’autres une place sur un bateau qui descend le Rio Dulce vers la ville du même nom. Ce sont des rabatteurs, ils gagnent leur vie ainsi, en ramenant des clients vers des commerces en échange d’une commission. C’est dans cette cohue que nous prenons nos bagages et nous dirigeons vers le bureau d’immigration pour faire estampiller nos passeports. Heureusement, mon sac à dos n’est pas trop lourd, la montée est abrupte et le soleil nous réchauffe plus que nécessaire.

Nous attendons 30 minutes la réouverture du bureau d’immigration: c’est l’heure du lunch. Bienvenue au Guatemala.
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